Cependant, au-delà de la circonstance
historique que fut le cartésianisme, un
fondement métaphysique voue l'homme a
être toujours à distance du monde des
choses et des êtres et à les
méconnaître, cette part de
la
réalité: le
réel qui
échappe toujours (voir:
Lacan).
Tout d'abord, grâce et à cause du
langage qui éloigne du monde par la
production de signes abstraits qui fait que l'homme
construit et invente un monde qu'il croit
vrai
par un travail
de réification ; ensuite, parce que il ne
peut devenir sujet qu'à la condition de se
séparer de son vécu primordial et
n'être désormais par rapport au monde
que dans un rapport de croyance.
Aussi, les voies d'accès à la
réalité et au réel dans toute
leur complexité passe par la forme de
connaissance la plus extensive et la plus
heuristique : l'imagination. Pour connaître,
il faut faire un effort d'imagination. <<La
réalité
intérieure de l'individu
correspond à un ensemble
de processus, de
représentations et
d'affects essentiellement (mais
pas seulement) inconscients, et a
été
désignée par Freud
comme «
réalité psychique
». Ainsi contient-elle
à la fois les
représentations du monde
qu'a pu se forger le sujet, les
fantasmes issus du désir
inconscient et du jeu pulsionnel
et des structures fantasmatiques
universelles : les fantasmes
originaires. Pour l'analyste,
elle possède une existence
et une efficience comparables
à la réalité
physique.>>Dictionnaire
Intern.
Psychan.
En produisant des concepts, des
notions ou mots, l'homme rend la
réalité (humaine ou
physique) abstraite. La
désignation de ce chien particulier
par le mot général " chien "
est une abstraction.
Elle provoque un double effet :
d'une part, je rends bien compte de ce
chien-là mais d'autre part, je
dissous sa singularité de
Médor - sa couleur, sa gentillesse,
sa taille
- dans l'abstraction d'un
mot. C'est d'ailleurs bien commode car
même en l'absence de Médor,
je pourrais toujours l'évoquer
devant des amis grâce au mot chien.
J'aurais perdu au change dans
l'opération puisque toute la
diversité des
caractéristiques de Médor se
fondra dans une abstraction qui n'en aura
retenu que les attributs essentiels, les
attributs du chien. Je peux bien sûr
passer de l'espèce chien au genre
cocker - si Médor est un cocker -
et ainsi de suite dans cette
démarche descendante qui vise
à me réapproprier la
réalité Médor mais
elle est vaine.
C'est un processus d'abstraction
vital pour l'homme, du moins pour l'homme
qui vit en société et qui
veut communiquer avec ses semblables,
témoigner du pouvoir infini de la
pensée et de la puissance de la
raison, que " d'appeler les choses par un
nom " (" par LEUR nom " se faisant par
convention).
On imagine mal - enfin on peut
toujours l'imaginer - qu'à chaque
émotion, qu'à chaque
élément de
réalité correspondent un
signe. Nous aurions ainsi, face à
la profusion de la réalité,
une profusion équivalente de signes
pour la désigner, rendant toute
communication et toute production
d'idées impossibles. Il faut donc
trouver une forme économique, le
langage, qui se substitue au " cri de la
nature " ou au " cri des passions
". (voir
aussi aspect
anthtropologique)
Ainsi du jeune enfant qui croisant
le chien Médor l'appellera
Médor, le chien Toutou, Toutou,
etc. avant de les ranger sous la
dénomination " chien ". A
l'inverse, questionnant sa mère sur
la nature de cet animal étrange et
qui lui répondrait : " c'est un
chien ", il utilisera le vocable pendant
quelques temps pour désigner tout
ce qui bouge, à quatre pattes,
poilus avant de l'attribuer exactement.
Surtout qu'il n'y a aucune raison pour que
le chien s'appelle chien même si
l'enfant, toujours lui, pense qu'il est
dans la nature du chien de s'appeler "
chien " et non pas " chat ".
Certes cette
propriété confère au
langage une très grande
indépendance par rapport à
la réalité mais son prix en
est une part de méconnaissance de
la réalité
même. 2 - Où il est
montré que le monde auquel nous avons
affaire est un monde
construit
Si la langue était
simplement la capacité d'appliquer
à chaque élément de
la situation objective la
désignation qui lui convient, c'est
que le monde serait, tout entier et par sa
nature propre, ordonné en
catégories distinctes, que notre
langage n'aurait qu'à reproduire. "
La langue n'est pas un calque de la
réalité " (Martinet)
en témoigne les variations
culturelles quant à la perception
des dites réalités
cité par Martinet : " Dans le
spectre solaire, un Français
distinguera entre du violet, du bleu, du
vert, du jaune, de l'orangé et du
rouge. Mais ces distinctions ne se
trouvent pas dans le spectre
lui-même où il n'y a qu'un
continu du violet au rouge
".(Eléments de linguistique
générale) .
Il faut donc considérer
le monde en lui-même comme une
totalité
indifférenciée. Aussi,
connaître un
phénomène, c'est l'isoler de
cette totalité par une appellation
et l'analyser par un discours.
Le monde physique EST mais il
ne vient à EXISTER que parce qu'une
conscience le nomme. L'univers
est rempli de ces réalités
à l'état d'ETRE en attente
de venir à l'EXISTENCE par les
besoins ou la curiosité des
hommes.
La
conséquence est importante
: Se crée ainsi entre le
monde tel qu'il EST et nous, un
monde tel que nous le faisons
APPARAITRE, un monde fictif,
IMAGINAIRE, SYMBOLIQUE et un
reste méconnaissable car
n'ayant pas la possibilité
d'être mis ni en image , ni
en symbole et insupportable le
REEL.
Certes, j'ai une connaissance
intuitive, intime du
de
la
réalité,
presque instinctive établi sur la
base de ce qui est bon pour moi ou mauvais
où s'opère une sorte de
coïncidence avec l'objet. Je sais que
l'eau est bonne pour apaiser ma soif. Ici
s'effectue un premier découpage
de
la
réalité,
une première classification du
monde en fonction de mes
intérêts ou
désintérêts, de
l'agréable ou du
désagréable, de la
sécurité ou de
l'insécurité, des ressources
ou des manques... etc. <<Pour
Freud, « Le mauvais,
l'étranger au Moi, ce qui
se trouve à
l'extérieur est pour lui
tout d'abord identique »
(1925h). La réalité
extérieure restera selon
lui toujours inconnaissable comme
la Ding an sich (« Chose en
soi ») kantienne; mais,
comme Kant, Freud
n'adhérait pas à
l'idéalisme absolu de
l'évêque Berkeley
pour qui n'existait en quelque
sorte que la
réalité psychique.
On ne rencontre cet état
de fait que dans certaines
psychoses (schizophrénie,
psychose hallucinatoire
chronique...), où les
mouvements de la
réalité psychique
sont pris pour la
réalité
extérieure (cf.
l'hallucination). Dans la
névrose, ces deux lieux
topiques restent distincts
même si « la
réalité psychique
joue un rôle dominant
»>> Dictionnaire
Intern.
Psychan. <<Freud
tout au long de son oeuvre
tentera de préciser les
lois de fonctionnement de la
réalité psychique
et d'éclairer le lien
dialectique qu'elle entretient
avec la réalité
extérieure. Dans les
« Formulations sur les deux
principes au cours des
événements
psychiques » (1911b), il
soutient qu'au premier temps de
la vie le sujet est sous la
domination du principe de plaisir
et de l'hallucination de la
satisfaction. Mais l'échec
de ce moyen pour se satisfaire
oblige l'enfant « à
se représenter
l'état réel du
monde extérieur ». La
pensée, qui est à
l'origine inconsciente, se clive
: une partie reste sous le
contrôle du principe de
plaisir et fabrique les
fantasmes, l'autre partie, avec
le langage, devient consciente et
capable de juger si une
représentation appartient
à la réalité
psychique interne ou à
celle, externe, du monde.>>
Dictionnaire Intern.
Psychan.
L'interprétation
hégélienne du mythe de la
chute d'Adam et Eve, repris par la
psychanalyse et la philosophie fait de
la séparation un moment
nécessaire de la pensée,
après avoir été
vécus, les liens entre l'homme et
la nature seront pensés.
Cette
production de discours sur une
réalité implique à la
fois une mise à distance, un
écart et un découpage
arbitraire de la
réalité
Le problème qui se pose
alors est de savoir, dans la mesure
où il y a séparation
nécessaire d'avec la nature, si la
connaissance que nous en avons est
certaine. Si l'homme doit se
séparer de la nature pour la
connaître comment peut-il être
certain que l'ordre des pensées
humaines coïncide avec l'ordre de la
nature ? Connaissons-nous les choses
telles qu'elles sont ou bien telles que
nous sommes ou plutôt telle que nous
les faisons en fonction de ce que nous
sommes ? La nature n'est pas qu'apparence,
les choses SONT réellement, mais
connaîtrons nous jamais autre chose
que des phénomènes
:
la
réalité
structuré par l'activité
propre de l'esprit humain ? - dans un
premier temps des classifications
instinctives en fonction des besoins.
Puis des classifications
linguistiques. Cet ordre, incorporé
au langage - contribue à structurer la
façon dont nous nous représentons
la
réalité.
Nommer, c'est réunir arbitrairement sous un
même vocable des choses, des êtres, des
actes
qui se ressemblent, c'est un premier
classement dans cette diversité changeante
de
la réalité.
La langue exerce sur notre façon de
percevoir et de penser une influence qui, bien
qu'inconsciente, fait que l'individu "parle
selon des structures correspondant à des
systématisations de sa propre langue "
(Whorf), à une mise en forme de
l'expérience.
Ensuite, des classifications
symboliques qui établissent des
correspondances entre les événements
(mythiques ou dans
la
réalité)
qui sont
proches, quelle que soit leur façon
d'être proche (ressemblance,
contiguïté
). Au XVIe
siècle la ressemblance fait partie du
savoir. Pour savoir que l'aconit guérit nos
maladies d'yeux ou que la noix pilée avec de
l'esprit de vin soigne les maux de tête, il
faut bien qu'une marque nous en avertisse. Il faut
aller y chercher la marque laissée par Dieu
pour nous permettre de déchiffrer le monde.
Le visage du monde est ainsi couvert de blasons,
caractères, de chiffres, de mots obscurs : "
n'est-il pas vrai que toutes les herbes, plantes,
arbres et autres provenant des entrailles de la
terre sont autant de livres et de signes magiques
". Le monde peut se comparer à un homme qui
parle, " les herbes parlent au médecin
". Ainsi, de l'aconit par sa ressemblance avec
un globe oculaire ; ainsi de la noix et de sa
ressemblance avec la boîte crânienne et
le cerveau.
Viendront enfin (avec
toujours à l'esprit l'impertinence
d'une telle succession temporelle) les
classifications scientifiques qui,
à la différence des
classifications symboliques, refusent les
ressemblances accidentelles de forme ou de
couleur et cherchent à
élaborer un système de
classement fondé sur l'organisation
interne des éléments
qu'elles classent selon la
complexité croissante de leur
structure.
Donc s'interposent entre l'homme et
le monde, la réalité, un monde de la
représentation,
imaginaire
et symbolique
partiel et partial, contingent des cultures qui
l'élaborent. Ainsi, vivons nous en
matière de vérité dans la
croyance 3 - Où il sera
montré que notre
rapport
au
monde est un
rapport de croyance.
La croyance naît du processus
décrit plus haut par lequel l'être
humain se déprend de son vécu
primordial pour accéder au statut de sujet
et notamment de sujet connaissant. L'individu
humain doit se déprendre du vécu
immédiat, animal pourrait-on dire, pour se
représenter ce vécu par autre chose
qui n'est pas ce vécu lui-même. C'est
dans ce mouvement que l'individu se soustrait
à l'immédiateté du vécu
en se donnant un substitut, le langage, et les
constructions du monde qui en découlent. Par
ce processus de subjectivation, il est à
jamais mis à distance de la
réalité.
La réalité est alors
constituée pour lui par un système de
représentations qui peuvent prendre la forme
d'images ou de concepts
(tout
en laissant toujours la trace d'un réel
inconnaissable et insuportable).
La prise sur la
réalité
n'est plus
directe et immédiate comme pour l'animal,
elle est indirecte, médiatisée par un
système de représentation, dans un
mouvement de symbolisation. Dès lors, le
sujet n'a plus à sa disposition pour
accéder à
cette
réalité
à jamais perdu que le crédit qu'il
accorde à ses
représentations.
Là s'origine le
mécanisme de la croyance: il n'est
de rapport à la
réalité que de croyance et
c'est la pratique sociale collective qui
institue la réalité
matérielle comme
réalité objective,
extérieure au sujet, par convention
en somme. La Vérité n'est
plus seulement alors une affaire de
rationalité qui se
déroulerait dans l'absolu.
Privé de ce critère, le seul
repère pour une croyance de se
définir comme juste à un
moment donné sera le consensus
social sur l'objet érigé
alors en Vérité,
précédé encore d'un
processus social visant à faire
tomber certains objets plutôt que
d'autres sous les catégories du
vrai et du faux.
La volonté de
connaître, le désir de
connaître est en quelque sorte la
reconstitution de l'objet perdu dans un
univers de significations
maîtrisé par l'homme qui
parle. L'objet ainsi reconstruit
s'installe dans une sorte
d'ambiguïté, une espèce
de mixité entre la
"réalité" et "l'imaginaire"
(ce que Winnicott nomme "aire
transitionnelle"). La croyance, loin
d'être une sorte de
défaillance de la raison est la
seule possibilité pour l'homme
d'attribuer de l'existence, de faire en
sorte que quelque chose
existât.
Tout se passe comme si le besoin
de croire était une sorte de
tension pour aller aux retrouvailles
de
la
réalité
perdu à tout jamais dans la
constitution de la
subjectivité.
Croire c'est ainsi tendre vers
un au-delà de la
représentation, pour retrouver une
réalité qui lui donne
crédit
(en
sachant qu'il y aura toujours ce
réél inconnu et
insupportable).
Or la réalité perdue, par le
processus qui conduit chaque individu
à la conscience, c'est le
vécu primordial d'une unité,
unité acéphale de la
période intra-utérine,
unité fusionnelle avec la
mère lors de la période
néo-natale. <<Si
la notion de
réalité psychique
n'est plus contestée
aujourd'hui et si tout analyste
en reconnaît la valeur
heuristique, des divergences
fondamentales existent entre les
diverses conceptions relatives
à l'articulation des
réalités interne et
externe. L'adhésion
à un réalisme
physique a conduit nombre de
praticiens à invoquer la
réalité
matérielle et sociale dans
une perspective normative
(Hartmann H., 1956). Expliquer
les symptômes par les seuls
événements
réels, prôner
l'adaptation à la
réalité reste une
dérive contemporaine de
pratiques
psychothérapiques qui ne
gardent d'analytique que
l'épithète dont
elles s'affublent. Un
autre courant
théorico-pratique
préconise la mise entre
parenthèses de la
réalité
extérieure et historique
(Jacques Lacan, Serge Viderman).
Au-delà de leurs
divergences, ces
théoriciens partagent le
même désir de
maîtriser le champ
psychique dont la pureté
ne saurait être
altérée par aucune
opacité
factuelle. Aujourd'hui,
la plupart des analystes
s'accordent sur un principe
d'«
indécidabilité
» (Daniel Widlôcher,
jean Guillaumin, Haydée
Faimberg, etc.) entre ce qui est
à mettre au compte de la
réalité
matérielle et ce qui
relève de la
réalité psychique.
L'approfondissement de la notion
d'originaire (Piera Aulagnier) et
les études
transculturelles montrent que
« l'infantile, la culture et
les caractéristiques de
l'objet » (Dayan M., 1985) -
c'est-àdire la
réalité
extérieure - organisent
à leur manière la
réalité psychique
du sujet.>> Dictionnaire
Intern.
Psychan.
II puise sa force indestructible dans les
liens les plus archaïques avec la mère
en tant que celle-ci a pu représenter le
Paradis perdu de la complétude narcissique.
Le besoin de croire a donc partie liée avec
les processus psychologiques qui sont au principe
du besoin d'aimer et d'être aimer qui
n'abandonnera plus jamais l'homme comme le souligne
Freud corrélativement à l'état
de détresse originelle.
Ainsi, les concepts ou notions, ou encore
idées, que nous formons et auxquels nous
adhérons ne s'imposent pas d'eux-mêmes
par leur seule vertu éclairante pour moi
mais dans un rapport de
désir.
Je n'adhère pas à l'un ou
l'autre parce qu'ils sont désirables du fait
des lumières qu'ils peuvent apporter mais
parce que je les désire. C'est à dire
que je les fait entrer, malgré toute leur
rationalité, dans un imaginaire qui me
convient. On pourrait me démontrer
scientifiquement qu'il existe bien des races
différentes et des individus
inférieurs mais je n'en demeurerai pas moins
antiraciste.
Si la rationalité ne s'impose pas
d'elle-même, il faut donc bien qu'elle est un
rapport avec le désir et la croyance qui lui
est liée.
Par conséquent, loin de
séparer concept et image, faut-il les faire
obéir à une même puissance,
celle du désir et faut il s'interroger sur
ce qui nous poussent à
préférer tel concept plutôt que
tel autre, à s'interroger sur nos
affinités électives et
intellectuelles qui nous font tomber amoureux des
théories. Loin d'être comme des anges,
les concepts finissent par avoir un sexe
! Dictionnaire des
intraduisibles sous la
direction de Barbara Cassin Seuil-le Robert,
1534 p., 95 € <<Cette
pluralité des idiomes est sources
d'inépuisables richesses, occasion de
périples intélectuels
imprévisibles, machine extraordinaire
à multiplier les
mondes.>> Le site de
Didier Martz: http://www.cyberphilo.org/ Christophe
Godin. Fayard-Editions
du temps, 1534 p. 49 € <<Ici, un
seul auteur, et la seule langue française,
pour un outils de travail qui choisit d'être
avant tout clair et simple, sans oublier pour
autant d'être complet, précis,
nua,cé.>> Commentaires <<Eh
bien si, aussi extraordinaire que cela puisse
paraître, le mot est la chose, la carte est
le territoire CONNU. Le concept de chien n'aboie
pas, mais l'aboiement est un concept. Notre
problème est que la pensée - et la
pensée est faite de concepts - est en
majeure partie inconsciente ou non consciente. Ce
qui fait que nous ne voyons pas toute la machinerie
mentale à l'oeuvre. Mais pour aller
très vite, on dira que nos perceptions ne
donnent lieu à une connaissance ou une
conscience que s'il y a reconnaissance, c'est
à dire structure conceptuelle. La sensation
de chaud est traduite en concepts. Quant au
phénomène physique et au
phénomène biologique de brûlure
qui pourrait s'en suivre, elles nous
échappent.Tout le système sujet/objet
repose là-dessus.Jean
Louis>> <<trés
bon site, merci.Mon age est de 18 ans et je suis
justement dans une période d'aire
transitionnelle je pense, pouriez-vous svp me
donner des renseignements ou conseils pour vivre
mieux cette pèriode?? A bientot et merci
encore!!>>
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