|
1°)
Informez-vous sur
l'ensemble du
phénomène
et sur un groupe auprès de
l'UNADFI.
Une documentation peut vous être
envoyée, à votre demande, contre
frais de port.
2°)
Utilisez cette
documentation pour faire comprendre à
l'adepte
que le groupe qu'il trouve si attirant peut
être dangereux : pour sa santé, pour
ses enfants, parce que la plupart de ces groupes
exigent des ruptures avec la famille, le milieu
amical, voire professionnel.
3°)
Ne rêvez
pas : il
est fort probable que l'adepte, même avec la
documentation trouvée, ne vous croira
pas.
4°)
Ne coupez jamais les
ponts :
même s'il quitte la région ou le pays,
continuez à lui écrire. Essayez de le
voir, de lui parler de ce qui l'intéressait
auparavant. Vous devez être le gardien
fidèle de sa personnalîté
d'avant.
5°)
Ne cédez
pas au découragement
: l'emprise
d'un groupe sectaire peut durer plusieurs
années. Continuez la relation et faites-vous
aider par les associations compétentes
:
UNADFI - 10,
me du Père-Julien-Dhuit - 75020 Paris -
tél: 0147 97 96 08
6°)
Lorsque l'adepte sort de son groupe, attention aux
rechutes
prévisibles.
Ne vous découragez pas. Continuez à
le soutenir (aide d'un psychologue ou d'un
psychiatre, retour à l'emploi,
réunions avec d'anciens amis ...
).
7°)
Sachez qu'il faut
- sans aide psychologique - environ 10 ans pour
pouvoir parler d'une expérience
sectaire.
N'attendez donc pas de confidences, de regrets ou
d'explications immédiates.
LES
DÉRIVES SECTAIRES NE SONT PAS TOUTES
DÛMENT ETIQUETEES
1°)
Si une école de musique, un cours de dessin,
une association sportive, une «thérapie
»... vous semblent « bizarres »,
qu'on vous y propose de plus en plus
d'activités, de plus en plus souvent
éloignées du sujet d'origine,
méfiez-vous.
2°)
Informez-vous : ce sont peut-être des
filiales de groupes connus.
3°)
Exercez votre esprit critique et ne restez pas dans
des structures qui vous paraissent
dérangeantes.
|
